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Voici quelques conseils utiles qui pourraient vous aider à trouver ce que vous cherchez :
L’expression « aplatir la courbe » circule abondamment dans les médias actuellement. Que signifie-t-elle?
Depuis la flambée de cas de coronavirus (SARS-CoV-2),un graphique, où deux courbes d’allures différentes sont placées côte à côte, circule dans les médias. L’une ressemble à une montagne, haute et pointue, et l’autre à une colline étendue.
Il s’agit d’un schéma qui représente le nombre de cas d’infection à la COVID-19 relevés chaque jour en fonction des jours qui passent depuis le tout premier cas.
La différence majeure entre les deux courbes est l’absence ou la présence de mesures de santé publique. Celles-ci servent à ralentir la propagation du virus.
En bref, elle expose l’évolution d’une épidémie avec ou sans actions de prévention.
La première courbe, soit celle qui est pointue et haute, démontre qu’en l’absence d’interventions de santé publique, le nombre de gens atteints du coronavirus sera plus élevé et le pic (nombre maximal de cas) de l’éclosion se produira plus tôt.
À l’inverse, la deuxième courbe, à l’image d’une vaste colline, suggère qu’avec les interventions de santé publique, l’augmentation des cas sera moins soudaine ainsi le pic de l’éclosion sera moins élevé et se produira plus tard.
Une « explosion » soudaine et massive de cas de patients infectés par le coronavirus ou SARS-CoV-2 pourrait être dramatique pour les réseaux de santé déjà très occupés.
Ce qui est démontré dans le graphique est que, dans le premier cas, il arrive un moment où les services de santé n’arrivent plus à donner les soins adéquats aux gens infectés. Ce fut le cas en Chine et en Italie, entre autres. Les décès furent plus nombreux, car de nombreux patients n’ont pas eu accès aux services de santé et aux équipements médicaux alors qu’ils en auraient eu besoin.
Dans le deuxième cas, les services de santé peuvent mieux se préparer et répondre à la demande grandissante, mais contrôlée de soins. Le seuil de saturation n’est pas dépassé et les services sanitaires ne s’écroulent pas sous l’ampleur de la tâche.
Puisqu’il n’existe actuellement ni vaccin ni cure antivirale reconnue pour la population générale contre la COVID-19, les mesures appelées « de santé publique » sont les seules disponibles pour diminuer la contamination de la population.
Il existe deux types de mesures. Les premières sont celles que peuvent prendre les individus, par exemple :
Les autres sont des actions communautaires, telles que :
En tant que société, il est primordial que nous placions comme priorité le bien collectif. Chaque membre peut faire sa part pour éradiquer la menace actuelle. Notamment, chacun peut agir de façon responsable et consciente, et adopter des comportements sécuritaires.
C’est ensemble que nous pourrons combattre la COVID-19. #çavabienaller
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